google-site-verification: googlede319a3eacee1517.html Ecrire est un sport de combat: psychorépression

mardi 29 mars 2011

psychorépression

Un jour, un jour où vous avez été plus “décalé” qu’à l’ordinaire, ils viennent vous cueillir, ils vous passent une camisole, chimique ou non, et c’est parti!... Plus vous allez répéter que vous n’êtes pas fou, plus ils vont considérer que vous l’êtes. Au final, si vous ne trouvez pas le calme nécessaire, si vous ne vous montrez pas plus intelligent qu’eux, votre sort est scellé. Vous allez passer votre vie en hôpital psy et sous contrainte. Le personnel auquel vous allez avoir affaire, parce qu’il n’est plus formé, est, à la base, beaucoup plus con que vous... Si vous n’avez jamais tenté d’être aussi con qu’un con de base, je vous souhaite bon courage!.... Cela n’a pas d’autre origine que la conviction de notre Nabot en chef et de tous ses sbires, que, eux, il sont normaux. En URSS, dans les grandes années de la dictature, on n’enfermait pas les gens pour d’autres raisons... On les envoyait en hôpital Psy.... Je suis effondré quand j’entends dire que nous ne serions pas en dictature... Cela n’en est qu’une preuve de plus.... Normal, c’est comme lui et point barre.... Vive notre guide! (Phrase à prononcer la main doite en l’air!...). Je vous épargne la traduction en allemand.

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