google-site-verification: googlede319a3eacee1517.html Ecrire est un sport de combat

jeudi 2 octobre 2014

Déception

Les statistiques sont formelles : vous ne m'avez pas suivi sur ma nouvelle adresse.... Aurais-je fait une erreur en vous invitant à la fidélité ? Pour ceux que ça intéresse, c'est toujours LA

lundi 15 septembre 2014

Bug...

Tous les liens associés à ce blog sont passés au fond du trou, tout en bas.. Un bug que je ne parviens pas à régler... Total, je change de blog... Maintenant, c'est LA.... A bientôt

vendredi 5 septembre 2014

Aragon

On en parle, on en parle mais qui a lu ?


mercredi 3 septembre 2014

A mort les petits


Je suis pour qu'on élimine les petits. Hollande, Valls, Poutine, Sarkozy, Pujadas, tous les petits qui nous font chier, qui nous pourrissent la vie, au nom d'un complexe d'infériorité dû à leur taille . Il paraît que Hitler était petit ! Goebbels, également. (Point de Godwin, disent les initiés). Je reconnais, je suis grand. 1m90. Mais pas une once de méchanceté. Vous avez déjà vu un Terre-Neuve (le chien) méchant ? Depuis le début de l'humanité, on génocide à tour de bras, sur des critères ethniques, religieux, politiques. On n'a jamais essayé par taille. On devrait. Peut-être que, cette fois, ça marcherait. Eliminer tous les petits ou, à l'inverse, tous les grands. Peut-être que ça irait mieux. On peut rêver.

vendredi 29 août 2014

Pêche à la mouche

Je passe mes étés à pêcher à la mouche. Les images sont rares. Comme vous le voyez, la rivière ne coule pas au milieu mais autour. Je n'aime d'ailleurs pas tellement le film de Redford qui, pourtant, reste la référence en la matière pour tous les rêveurs.



Si, jamais, cela vous intéresse de savoir ce qui peut bien se cacher derrière la pêche à la mouche lorsqu'on est un écrivain, vous pouvez lire mon livre "Petite histoire subjective et romancée de la pêche à la truite en France" aux éditions du Petit Pavé.



mercredi 27 août 2014

Les Schtroumph, ben...... c'est nous !....


Bon.. je sais, c'est pas bien de s'en prendre aux personnes mais surtout sur le physique. C'est pas bien. Un délit de sale gueule de plus.. J'assume. Mais avouez !... Gargamel rêve d'une soupe aux Schtroumph.... Pierrrot, lui, c'est vous qu'il veut bouffer.

dimanche 13 juillet 2014

Palestine, Israël, c'est possible


Et pendant ce temps, des Palestiniens extrémistes envoient des roquettes et des Israéliens extrémistes bombardent et envahissent.

vendredi 4 juillet 2014

Dernière peinture

Je vous présente ma dernière toile peinte. C'était il y a à peu près trois ans. Après ça, j'ai rangé le matériel. Non par découragement mais tout simplement parce que je n'ai plus de place dans mon réduit pour ranger des toiles... Idiot, n'est-il pas ? Elle était censée être la première d'une série dont la complexité devait aller croissant. Elle reste unique. Au moins jusqu'à ce que je ressorte le matériel, un de ces jours....


C'est évidemment une oeuvre anti-corrida et l'allusion à Picasso n'est pas fortuite.

mardi 1 juillet 2014

Viré

Moi qui ai toute ma vie consacré une énergie incroyable (et à la limite du pathétique) à ne jamais avoir de chef, je me suis quand même fait virer, dites donc. Par un éditeur. Une surprise, admettez. Je dois reconnaître que je ne l'ai pas été malproprement. On m'a renvoyé mes livres, gratuitement ( j'en connais à qui on demande de payer, en plus !..), comme signe ultime d'une rupture unilatérale de contrat, au prétexte que mon livre ne se vend pas "assez", une rupture qui doit pouvoir relever de la justice. Je ne vais évidemment pas me lancer dans un procès. Je n'ai rien à y gagner et.. je ne suis pas de ce "genre".. ( les homos et les homophobes limitent le débat du genre à trois possibilités.. je pense qu'il y en a plein d'autres..). La seule chose qui me reste c'est de dénoncer l'indélicat... il s'agit des éditions du Petit Véhicule ( pourtant très réputées...). Il ne me reste également qu'à vous offrir ce livre (magnifique, au demeurant). Il est maintenant lisible ICI

vendredi 20 juin 2014

Au fronton....

Tout près de chez moi existe un théâtre très officiel et très officiellement subventionné qui, à son fronton, porte l'inscription suivante :



C'est tellement subversif. Vous rendez-vous compte ? Un A cul par dessus tête, un E en miroir. Ici, théâtre, mais pas ordinaire. Cela m'a refait penser à une chose que j'ai maintes fois dite : tracez sur le sol un cercle et vous verrez vos contemporains s'y presser pour tenter d'y inscrire chacun sa figure propre, qui un carré, qui un triangle, qui un hexagone, autre chose, toujours inscrit, mais jamais, extrêmement rarement, vous ne verrez quelqu'un tenter de sortir de ce cercle par un dessin, encore moins avec un dessin original et non géométrique. Dans ce théâtre, on doit jouer Antigone avec délectation. Pour la force du « Non », sans s'apercevoir que la jeune femme ne demande que le respect d'une tradition face à une autre tradition et que, par là, elle n'est pas moins conservatrice que son tyran. En plein milieu du mouvement des intermittents du spectacle, avec qui je me sens totalement solidaire, croiser cette inscription, c'était assez rafraîchissant. Penser contre soi, toujours. Elle me prouve que résister peut ne pas être, en soi, sympathique.

J'ai croisé cette enseigne un nombre de fois incalculable. Je n'ai aucune idée du pourquoi, cette fois, elle m'a paru affligeante et pathétique.

jeudi 19 juin 2014

Semaine texte de merde

Sur le site "La Zone", Ouverture de la "semaine du texte de merde". C'est avec délectation que j'ai participé... Et j'ai l'impression que j'ai réussi mon coup... Hi Hi Hi - CI

mardi 10 juin 2014

Joyeux délit

Je pratique avec délice le délit de sale gueule. Le mien ne concerne pas les Noirs, ni les Arabes, ni les Rroms, ni les Juifs, ni aucun des rastaquouères généralement discrédités. Le mien concerne tout le monde. J'ai le chic pour capter dans un regard, une attitude, un geste, un mode d'expression ou l'air ambiant, le faux-cul, l'ambitieux, l'arriviste, le meurtrier qui n'hésitera pas à vous éliminer, même si ce n'est que socialement, mais aussi le stupide, le niais, le fanfaron, le lâche, bref, toutes les sortes d'égoïstes et de malades qui nous pourrissent la vie. Point absolument nécessaire à ce stade : la différence entre égoïste et individualiste. Pour faire court : l'égoïste ne pense qu'à remplir son compte en banque, l'individualiste ne pense qu'à son profit au sens d'élévation personnelle dont le but est de devenir un « individu » autonome. En bref, je jouis d'un sixième sens. Je croise un type, une nana, et paf !... C'est terminé. On me traite souvent de vieux con raciste, sectaire, quand on est cultivé, et je proteste énergiquement : je suis, certes, un vieux con mais ne suis en rien raciste. Détester les cons n'est pas un racisme. C'est une attitude philosophique. Diogène, par exemple, détestait les cons. Qu'ils soient rois ou manants. De même pour Nietzsche. Le dernier exemple en date porte sur un certain De Carolis. On a confié un temps la télé à ce type et qui s'est finalement fait virer définitivement, il y a peu, pour avoir un peu piqué dans la caisse. Mais, de vous à moi, vous avez regardé De Carolis? Vous auriez confié quoi que ce soit à cet énergumène ? C'est évidemment un délit de sale gueule. Que je revendique dans la joie. Et qui a raison, au bout du compte ?...

samedi 31 mai 2014

Finky

Ce matin, dans son émission sur France-CUl, Alain Finkielkraut, ci-devant académicien, a employé, parlant d'un chevalier, le terme "carapaçonné". Il se trouve que le terme idoine est "caparaçonné". On peut l'ignorer mais ce terme vient du mot "caparaçon" et non du mot "carapace". On peut l'ignorer mais Finky, lui, en tant qu'Académicien Français, mais, surtout, en soi-disant pourfendeur de la perte des valeurs qui ont fondé la France et de la Kulture, lui, il ne peut pas l'ignorer. Le concernant, c'est une faute impardonnable. Elle est belle, la France !...

mardi 27 mai 2014

Vient de paraître




Il devient chèvre à force de s’envoyer en l’air avec une jolie foraine.

Extrait : ELLE M’EMMENE DANS SA CHAMBRE, deuxième étage, vue sur la fête. Une chèvre dort sur le lit. Elle la pousse de la main et la bête se réfugie dans la salle de bains, gentiment, sans broncher. Pendant que je suis en train d'admirer les dernières lumières sur la grand place, la fin des réjouissances, lente et anarchique, les stands s'éteignant sans ordre et sans logique, la demoiselle s'est mise nue et m'attend sur le lit.

Pascal Pratz instille quelques épices de fantastique dans cette histoire qui ravira les amateurs de beauté fatale. La belle bohémienne du père Hugo n’a pas fini d’enflammer les fantasmes de nos Quasimodo contemporains.

Esmeralda, Pascal Pratz, nouvelle érotique, éditions SKA, collection Culissime, 0.99 €
EAN 9791023403305

C'est ICI

samedi 24 mai 2014

Dame nature




En haut, Physalis, autrement appelé amour en cage. Mais l'amour peut-il être sans cage ? En bas, radiolaire, squelette de plancton.... Curieux, non, cette similarité entre un végétal et un animal.....



Autoportrait à la rose

Le nom du chaton est ... Rose.

jeudi 22 mai 2014

Définitivement

L'unique but de la pensée, au sens de « la pensée dominante », est de colmater volontairement les brèches qu'elle ouvre involontairement. Notre problème, c'est que cela dure depuis le commencement de la pensée, du moins de ses traces écrites.

mercredi 21 mai 2014

commutalisme

La différence entre le capitalisme et le communisme est simple : le capitalisme s'appuie sur les côtés les plus sombres de l'être humain, la cupidité, l'égoïsme, la jalousie, la veulerie, la bêtise, etc... pour prospérer alors que le communisme rêve d'éliminer tous ces mauvais côtés pour finalement sombrer sous cela même qu'il fustige, la cupidité, l'égoïsme, la jalousie, la veulerie, la bêtise, etc... mais, cette fois, de ses dirigeants. Au final, il est donc absolument normal que l'un et l'autre aboutissent au même résultat.

A voir absolument

mardi 20 mai 2014

Comment va le monde, môssieu? Il tourne, môssieu!

Je ne connais pas un seul Physicien important qui n'ait, un jour, basculé dans le monde de la philosophie. Le plus emblématique, pour vous, restera Einstein, pour moi, c'est Heisenberg. Werner. Tout le monde pense que c'est la confrontation au néant qui provoque leur bascule vers l'intellectualisme. Très peu de gens, sur Terre, sont capables d'envisager la notion de "néant". Pourtant, en vérité, le déclencheur, c'est l'impossibilité du néant. Les philosophes physiciens sont exceptionnels, non parce qu'ils sont confrontés au néant mais, bien plus, parce qu'ils ont compris ce que recouvre cette notion et, la dépassant, tombent sur l'impossibilité de son existence. Fumer tue, paraît-il. La non-existence du néant rend fou. Surtout les médiocres. Le reste est dans Victor Hugo.

Le titre de cette chronique est une citation de F. Billetdoux

mardi 13 mai 2014

Absurde

C'est absurde. Ce monde est absurde. Il m'en cuit d'écrire cela car le chantre de l'absurde est et restera un certain Camus. Et je hais Camus. Trop bon genre, trop poli, un peu trop mystique et, à mon sens, pas assez cultivé. Je pense que lui-même est absurde ( tout comme moi, me direz-vous, si tout est absurde...). Je pense qu'il l'est parce que l'absurde ne peut pas être une règle, un dogme. Si le monde est absurde, il n'a pas de règle. Pas même celle d'être absurde. Le fait que, de manière manifeste, l'absurde règne en maître laisse forcément ouverte la possibilité qu'il ne le soit pas, au moins parfois. Reste que notre monde est parfaitement absurde. Je veux parler de notre monde tel qu'il va. L'économie, les guerres, les massacres, les meurtres, le racisme, les fanatismes, les religions, les églises, le travail salarié, le pouvoir de l'argent, le sport de haut niveau, l'amour des belles bagnoles, l'amour tout court, tout cela, tout ce qui fait notre vie quotidienne, est absurde. Malgré les efforts de nos nombreux experts, malgré nos tentatives de trouver un sens à tout cela, rien n'y fait. C'est absurde. Comme l'aurait dit Shakespeare : la vie est un récit conté par un idiot, plein de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien. Pourtant, en dépit de l'évidence, je n'ai jamais entendu autant de gens m'expliquer le sens de tout. Peut-on expliquer le vide ? Le néant existe-t-il ? La réponse est non. Ni le vide ni le néant n'existent si il existe quelque chose capable de les expliquer. Car, alors, cette chose y existe. Notre monde est absurde et rien ne peut nous l'expliquer.

samedi 19 avril 2014

Salon

Lundi 21 Avril, vous pourrez me rencontrer, avec de très nombreux auteurs, au salon du livre du festival 4 Z'A de Bourgneuf en Retz. Venez nombreux ! .....

vendredi 18 avril 2014

philo

Bon, d'accord, la philo, la politique, la raison, les lumières, l'amour, le temps qui passe, la mort, tout ça..... Mais ça, rien à faire, ça laisse curieusement sans voix.... Surtout quand ça se passe sur votre canapé.

jeudi 17 avril 2014

Austérité

Le budget total de la France, colonne dépenses, est de 1900 milliards d'Euros. On nous propose d'économiser 50 milliards sur ces 1900. C'est à dire 2%. Par comparaison, prenons un employé payé 1200€ par mois. La cure proposée revient, pour lui, à économiser 24€ par mois. Sincèrement, pour y parvenir, devra-t-il revendre la voiture, cesser de manger ou se priver de tout ? Non, évidemment. Juste se priver d'un petit plaisir, manger plus de pâtes, fumer un peu moins. L’État, lui, nous propose de tout ravager pour trouver ces 2%. en particulier la protection sociale. Là, bien que très peu gourmand de la théorie du complot, je dois reconnaître : le but est bel et bien de ramener la protection sociale, à terme, au niveau des pays en voie de développement. Et, ce, dans un seul but : augmenter encore les profits des capitalistes. Un chiffre récent est assez expressif à ce sujet : les 67 personnes les plus riches sur Terre possèdent aujourd'hui autant que la moitié des habitants restants sur le globe. Et c'est pas fini....