L’un de paradoxes de l’écrivain, c’est de préférer écrire la vie que la vivre. Un autre, le pire, peut-être, c’est de coucher sur le papier de mots qu’il destine à des gens qu’il n’aime pas, qu’il abbhorre, même, et dont il espère qu’ils vont les acheter. La fenêtre est étroite. D’où le fait que peu y parviennent. C’est au-delà de la contradiction. Une saloperie sans nom. N’en oubliez pas, pour autant, d’acheter mes livres.
mercredi 12 septembre 2012
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