Jeune,
c'est scarification,
de
la pointe du compas,
mutilation,
massacre capillaire,
c'est
mal de vivre, c'est adolescence,
c'est
refus d'en être,
de
ce monde abjecte.
Plus
tard, c'est alcool,
c'est
prise de risques inconsidérés
c'est
tabac, c'est drogue,
immaturité,
disent-ils,
Ce
que les mal au monde traduisent,
immanquablement,
par
normalité.
Et
cete question,
lancinate,
comment
peut-on,
comment
est-il possible,
de
supporter
toute
cette médiocrité,
ce
minable
ces
mains sales ?
Et
l'irrepressible envie
de
les couper....
Et
si nous n'étions pas,
nous-mêmes,
si ordinaires,
supporterions-nous
mieux
notre
vulgarité ?
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