Je
fais partie d'une catégorie un peu spéciale de mecs qui semblent
totalement exempts de pulsions de viol. Quelle qu'en soit la raison,
pas forcément valorisante, cette pulsion ne m'habite pas. Et, assez
curieusement, tous les « garçons » me ressemblant sur ce
point et que je connais vivent avec des femmes violées. Facile, me
direz-vous. Avec environ cent mille cas par an (en France), nous
avons des « chances » (sens statistique) assez
importantes de tomber sur une femme violée. N'empêche : quel lien
entre l'absence de cette pulsion et le fait que, manifestement, nous
sommes attitrés par ces victimes d'un acte que nous considérons, à
priori, comme étranger à nous-même ? Les deux faces d'une même
médaille ?...
mardi 22 janvier 2013
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