On s’était fait piéger dans des embouteillages monstrueux. Comme à l’habitude, la moitié des conducteurs coincés ne pensaient qu’à passer devant l’autre moitié, au risque de manoeuvres dangereuses, ce qui était l’unique cause du ralentissement. Je pestais sec. Pire que ça. Je relisais de manière exhaustive tout mon lexique de grossièretés. Ça passe le temps et mes contemporains le méritent largement. Une fois que nous avons enfin eu dépassé le noeud du bouchon et repris une marche normale, le petit bonhomme qui occupait le siège arrière a demandé, fort logiquement:
- Quand il y a des bouchons, pour que ça avance, il faut dire des gros mots?....
vendredi 24 septembre 2010
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