mercredi 12 décembre 2012
AVIS
Compte tenu de mes origines prolétaires, des engagements communistes de mes aïeux, de tout un tas de choses qui demanderaient des pages et des pages d'explications, explications que vous pourrez d'ailleurs découvrir tout simplement en lisant mes livres, je suis très encoléré par le récent épisode “Florange”. Néanmoins, et, peut-être, contrairement à ce que vous pourriez en imaginer, je ne parviens pas à prendre parti pour l'un des camps ou pour l'autre. Un peu comme pour ce qu'il est convenu de nommer “conflit” israélo-palestinien, qui n'a jamais été un conflit, puisque l'un des camps n'équivaut pas l'autre, militairement parlant, mais dans lequel, humainement, l'un des camps ne peut et ne pourra jamais être considéré comme “supérieur” à l'autre. J'aime autant les Israéliens que les Paletiniens, pris un par un. Dans le cas “Florange”, de même, mon coeur ne penche vers aucun camp. Cette contradiction, ce conflit interne va se traduire, dans les jours prochains, par un certain nombre de considérations intempestives. Comprenne qui pourra.
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