Ray Bradbury a tourné la dernière page de son livre personnel. L’occasion de parler de son best seller, Farenheit 451. C’est un livre sur une très bonne idée, une idée proche du bon sentiment, du romantisme, le fait de sauver les livres coûte que coûte. Quelqu’un a dit, je crois, qu’on ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments. On pourrait, par exemple, évoquer le fait que, dans les livres, on trouve principalement la culture bourgeoise, soit parce que les auteurs sont des bourgeois, soit parce que, quand ils ne le sont pas, rares sont ceux qui ne tentent pas, justement d’y entrer, de se conformer. En ce sens, on pourrait considérer que le mal dont souffre l’humanité trouve tout entier son origine dans les livres. Et que, par conséquent,.... Mais ce serait une taquinerie....
jeudi 7 juin 2012
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